JOSEPHITES (C.J.)
JOSEPHITES (C.J.)

FETE DE ST JOSEPH A LA BERLIERE (HOUTAING)

 

Le 19 mars, fête de notre patron le Saint-Joseph, la Région Belge s'est réuni à Houtaing.  Le matin un minibus a pris la route pour Dilsen-Stokkem, (188 km et plus que 2 h de route) pour chercher le père Jozef, et à Loksbergen le père Edwin.  Vers 11h nous avons célébré l'Eucharistie avec renouvellement des vœux. Dans son homélie le père François nous a donné quelques belles images de Saint-Joseph.    Le père Paul a dû annuler sa participation à cause de problèmes de santé. Le père général et père Félix avaient d’autres obligations.  Après un petit apéro, les pères Edwin, Robert, Jozef, Willem, François, Joseph, Willy, et moi-même, ainsi que Patrick Peeters, ancien élève et professeur au H.-Drievuldigheidscollege et chauffeur du père Willem,  ont partagé une bonne table festive, arrosée d'un bon verre de vin "Château Saint-Joseph". Fin d'après-midi tout le monde s'est rendu à la maison avec l'idée: « A refaire » !
P. Guido.

NOUVEAU LIVRE DE NOTRE CONFRERE SUNNY AKERcj

 

Le présent livre est destiné d’abord aux élèves internes, mais le tout va bien au-delà de ce petit groupe. Ce livre est issu de notre expérience comme Directeur de l’internat. Souvent, nos internes nous présentaient leurs problèmes scolaires. Donc, nous essayions de les résoudre en écrivant ce qui est contenu dans ce livre. Ce bel ouvrage qui vous est proposé est un outil incontournable pour la formation des élèves internes. Il a été conçu pour fournir aux élèves internes des notions de base de la préoccupation majeure de l’internat et de son but. L’ultime nécessité de la conception de ce livre réside dans le fait qu’il permet à distinguer le bon et le mauvais interne. En effet, cet ouvrage permettra aux élèves internes de connaître qui est un (e) bon/ne interne, en devenant les meilleurs. Au fait, les internes qui excellent ont une approche sérieuse de l’éducation. Les bons internes ont la motivation pour se fixer des objectifs à atteindre. Enfin, Nous sommes convaincu que quiconque prendra et lira ce livre avec attention sera défini et redéfini par son contenu.

 

Editions universitaires europeennes ( 08.02.2024 )

€ 60,90

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DECES DU P. MARK NEWMAN CJ LE 5 SEPTEMBRE 2023

Né à Malden, en Angleterre, en 1931.  Ses parents étaient Cyril Newman et Dorothy Sinclair.  Il passe ses quatre premières années à Moluque, en Malaisie.  Il rentre dans le Surrey, en Angleterre, en 1935.  Il s'inscrit au St Georges College, en Angleterre, en 1938. Son père, qui était dans l'armée britannique, a disparu pendant la Seconde Guerre mondiale lorsque les forces militaires japonaises ont pris Singapour. À l'âge de 14 ans, sa mère est décédée.  Le plus jeune frère de son père devient son tuteur. À l'âge de 14 ans, Laurence a joué au rugby, au hockey et au cricket dans les équipes de premier degré de St Georges. Il a pratiqué chacun de ces sports pendant trois ans.  En 1947, il a reçu une casquette de rugbyman.  En 1948, il est capitaine de l'équipe de gymnastique et capitaine de l'équipe de cricket.  Après avoir obtenu son diplôme en 1948, il est allé travailler à la Banque d'Angleterre et a continué à jouer au hockey pour le Sud de l'Angleterre. 

Après avoir travaillé pendant un an pour la Banque d'Angleterre, il a rejoint les Joséphites en 1949 et a prononcé ses premiers vœux en 1950.  À cette époque, il a pris comme nom patronal le nom de Marc, l'évangéliste.  Alors qu'il suit un programme de deux ans en philosophie, il est nommé surveillant au St Georges College.  En 1952, il entre à l'université de Cambridge et obtient sa maîtrise en 1956.  Pendant qu'il était à Cambridge, il a joué au hockey et a reçu son « bleu » de hockey (en jouant contre Oxford) pendant deux ans.  Il est pressenti pour faire partie de l'équipe olympique anglaise de hockey en 1956, mais il choisit de poursuivre ses études de théologie en Belgique.  En présence de ses deux sœurs, il a été ordonné prêtre au St Georges College en 1960.  

Après avoir été professeur et surveillant pendant trois ans au St Georges College, il a été envoyé en Californie par la communauté joséphite pour faire partie du premier groupe de confrères à ouvrir le lycée St Joseph. L'école était encore en cours d'achèvement et les cours se déroulaient dans des salles inachevées. Il a raconté les histoires de bureaux sortis des salles de classe pour poser le carrelage, de sable partout et de l'inscription des premiers élèves sur le coffre d'une voiture. A St Joseph High School il enseignait la théologie et les mathématiques.  Le premier directeur de l'école, le père Benet Woodman, C.J., est retourné en Angleterre après deux ans à St. Joseph et le père Mark est devenu le deuxième directeur de l'école en 1966, poste qu'il a occupé jusqu'en 1975.  Il a ensuite été aumônier de l'école de 1975 à 1987. Au cours de cette période, il a fondé le ministère « campus » et les programmes de retraite de l'école.  Il a été directeur une seconde fois de 1987 à 1990.  En 1990, il a été nommé curé de la paroisse Saint-Louis de Montfort à Santa Maria, fonction qu'il a exercée jusqu'en 2001, puis en tant que curé associé (émérite) jusqu'en 2019.  Pendant sa "retraite" (les joséphites ne prennent pas leur retraite. Comme les vieux soldats, ils "s'éteignent" lentement), il a servi d'aumônier à la maison de correction des jeunes, a célébré la messe plusieurs fois par semaine pour les sœurs retraitées de Saint-François qui ont une maison de retraite à Santa Maria et a continué à offrir des conseils spirituels et un accompagnement aux membres de la communauté catholique de Santa Maria. 

Le père Mark était un homme d’une foi profonde et de compassion.  L'exemple de sa vie et le service de son ministère ont touché des milliers d'âmes à la fois au lycée St. Joseph et à la paroisse St Louis de Montfort.  Il nous manquera beaucoup ici, mais il sera chaleureusement accueilli dans le Royaume par le Seigneur qu'il a si fidèlement servi.

L'enterrement aura lieu le mardi 12 septembre à 15 heures au cimetière de Santa Maria.
 

Born in Malden, England in 1931. His parents were Cyril Newman and Dorothy Sinclair. His first year four years were spent in Molucca, Malaya. He returned to Surrey, England in 1935. He enrolled in St. George’s College, England in 1938. His father, who was in the British military, was lost in WWII when Japanese military forces took Singapore. When he was 14 his mother passed away. His father’s youngest brother became his guardian. Laurence played rugby, field hockey and cricket for the St. George’s varsity teams at age 14. He played each of these sports for three years. In 1947 he was awarded a rugby cap. In 1948 he was captain of gym and captain of the cricket team. After leaving school in 1948 he went to work for the Bank of England and continued playing hockey for the South of England. 

After working for a year for the Bank of England, he joined the Josephites in 1949 and took first vows in 1950. At that time, he took as his patronal name the name of Mark, the evangelist. While doing a two-year program in philosophy, he was appointed a housemaster at St George’s College. In 1952 he entered Cambridge University and completed his master’s degree in 1956. While at Cambridge he played hockey and was awarded his hockey blue (playing against Oxford) for two years. He was under consideration for the English Olympic Hockey Team in 1956 but chose to continue his post graduate theological studies in Belgium. With his two sisters present, he was ordained to the priesthood at St George’s College in 1960. 

After serving as a teacher and housemaster for three years at St George’s College, he was sent to California by the Josephite community as part of the original group of confrères to open St Joseph High School in Santa Maria. After teaching for a year at Pius X High School in Downey California, as part of the process of acclimatising to American culture, he accompanied three other Josephites to Santa Maria to open St Joseph High School. The school was still in the process of being finished and classes were being held in unfinished rooms. He told stories of moving desks out of the classrooms to put down the tile flooring, of sand everywhere and the registration of the first students on the boot of a car. He served as one of the original teachers at St Joseph High School, teaching theology and mathematics. The first principal of the school, Fr Benet Woodman CJ, returned to England after two years at St Joseph and Fr Mark became the second head of the school in 1966 and served as head until 1975. He then served as chaplain for the school from 1975-1987. During that time he founded the school’s Campus Ministry and Retreat programs. He served as head a second time from 1987-1990. In 1990 he was appointed as parish priest at St Louis de Montfort parish in Santa Maria and served in that role until 2001 and then as curate (emeritus) until 2019. In his “retirement” (Josephites don’t retire. They, like old soldiers, just slowly “fade away.”), he served as chaplain at juvenile hall, celebrated Mass several times a week for the retired Sisters of St. Francis who have a retirement home in Santa Maria and continued to offer spiritual counselling and guidance to members of the Santa Maria Catholic community. 

Fr. Mark is a man of deep faith and compassion. The example of his life and the service of his ministry touched thousands of souls at both St Joseph High School and St Louis de Montfort parish. He will be deeply missed here but warmly welcomed in the Kingdom by the Lord whom he so faithfully served.

His burial will be at 3:00pm on Tuesday, September 12th in the Santa Maria Cemetery.
 

NOUVEAU BÂTIMENT À KINSHASA

 

A Limete, faubourg de Kinshasa, nous construisons une maison pour accueillir nos confrères âgés et malades. La construction évolue rapidement !

ORDRES MINEURS A KIMWENA

 

Ce dimanche 2 juillet cinq confrères scolastiques ont reçu les ordres mineurs à Kimwenza (DR Congo).
Il s’agit de (de droite à gauche) les Frères Charles Blanchard Mudibwa, Freddy Katay, (au centre le Père Recteur Omer Bilolo), Joseph Billier, Audrey Makutu, Louis Balthazar Kwete.
Fructueux apostolat à tous!

PATER RENAUD BEGON ER IN OORLOGSJAREN AL MEE, VANDAAG BEKROONT ZANGKOOR KONINKLIJKE TITEL EN JUBILEUM MET CONCERT

De Fall schonk al een pakje aan Manneken-Pis.  

Met een concert op zaterdag 10 juni rondt het gemengd zangkoor De Fall zijn jubileumvieringen af. De Fall is gesticht in 1946 en is de oudste koorvereniging van Geraardsbergen. In 2021 kreeg het koor de eretitel ‘koninklijk’ toegekend met toen 75 jaar op de teller. De Fall heeft zijn roots in het Sint-Jozefsinstituut, ook gekend als het Karmelieten. In 1946 ging het koor er officieel van start. Het bouwde toen verder op een koortraditie in de school die teruggaat tot de Eerste Wereldoorlog.
Yolande Godyns, voorzitter van De Fall sinds 2007, viste uit dat pater Renaud in die oorlogsjaren met een jongenskoor van start ging. De man die zelf liederen componeerde onder de naam P.J.B. Fall overleed in 1924. Toen er in 1946 een nieuw mannenkoor werd opgericht in het Karmelieten, kreeg dat de naam De Fall . 

De Fall a déjà offert un colis au Manneken-Pis.  
Le samedi 10 juin, le chœur mixte De Fall clôturera les festivités de son anniversaire par un concert. Fondée en 1946, De Fall est la plus ancienne chorale de Geraardsbergen. En 2021, le chœur s'est vu décerner le titre honorifique de "royal" pour ses 75 ans d'existence. De Fall trouve ses racines dans l'Institut Saint-Joseph, également connu sous le nom de Carmélites. C'est là que la chorale a officiellement vu le jour en 1946. Elle s'est ensuite appuyée sur une tradition chorale de l'école remontant à la Première Guerre mondiale.
Yolande Godyns, présidente de De Fall depuis 2007, a découvert que le Père Renaud avait créé une chorale de garçons pendant ces années de guerre. Celui qui composait ses propres chansons sous le nom de P.J.B. Fall est décédé en 1924. Lorsqu'un nouveau chœur d'hommes a été créé aux Carmélites en 1946, il a été baptisé De Fall. 

 

CARTE MORTUAIRE DU PERE RENAUD 1864-1924

FETE DE FIN D’ANNEE SCOLAIRE A NOS ECOLES DE DOMIONGO (DR CONGO)

QUELQUES IMAGES DE LA NOUVELLE MAISON SOUS CONSTRUCTION A KOZA (CAMEROUN)

VISITE DU SUPERIEUR GENERAL AU CAMEROUN

VISITE DU SUPERIEUR GENERAL ET DU VICAIRE GENERAL AU GABON

L’HOMELIE PRONONCEE A L’OCCASION DE LA MESSE DE SUFFRAGE DU REGRETTE PERE AMBROISE BISELELE, cj, Mokolo, le 20/01/2023

 

2 Tim. 4, 7-9; Ps. 129; Mat. 25, 14-30

Par le mystère pascal comprenant la passion, la mort et la résurrection du Christ, rendu manifeste dans le sacrement de baptême, tout croyant est passé de la mort à la vie, et vit de manière absolue de la vertu théologale de l’Espérance qui s’émancipe avec les vertus de la Foi et de la Charité dans notre existence. C’est cette espérance qui nous autorise, et c’est aussi la Foi, à nous rassembler dans cette église co-cathédrale Saint Jacques pour présenter par l’unique Médiateur entre Dieu et les hommes qui est Jésus-Christ, mort et Ressuscité, notre illustre défunt, au Dieu Créateur, Vivant et Vrai.
Par notre oui baptismal, la vie éternelle a déjà commencé dans un service permanent de notre « moi » qui est don. Notre regretté confrère Père Ambroise BISELELE a suivi un chemin pour vivre un bonheur profond et durable. Lui, l’homme à la gaité communicative, à la joie généreuse, à l’empathie ruisselante. Le Prêtre – religieux qu’il était, vivait dans sa vie ordinaire ce qu’il savait donner aux autres : l’annonce de la bonne nouvelle, la joie, la générosité, l’humour, le sens du sacrifice et d’engagement. Et nous savons tous comment il a su insuffler à ses personnages sa sympathie, sa bonne humeur, sa rigueur, sa propreté, son charme d’homme heureux.
Il y avait en lui, une vraie unité de vie qui a contribué à le faire aimer. Il était aimé des gens parce qu’il les aimait. Un homme vrai qui savait dire la vérité qui n’avait pas de faux-fuyant en lui. Un confrère qui a refusé d’appartenir à des groupuscules païens qui se créent parfois dans la vie communautaire. Il savait dire ce qu’il pensait. Un joséphite sans hypocrisie. Celui qui savait apporter la joie en communauté grâce à son sens élevé d’humour. Un homme des gens, c’est pourquoi il se faisait appeler « Manseba ». Oui, il était l’oncle de tout celui qui entrait en contact avec lui. Un religieux généreux qui savait aider ses confrères et les nécessiteux.
Père Ambroise, à l’instar de Saint Paul (1ère lecture), peut se réjouir qu’il a combattu le bon combat, qu’il a achevé sa course, qu’il a gardé la foi. Désormais la couronne de justice lui est réservée ; le Seigneur, le juste juge, la lui donnera dans ce jour-là… » (2 Tim.4,7).
Sa course, il l’a menée jusqu’au but. En dépit de toutes les oppositions et les afflictions. Il est resté dans la vérité. En tant que chrétien et serviteur de Dieu, il a gardé la doctrine de l’Evangile, mais aussi une foi solide. A titre illustratif, il est mort avec la croix entre ses mains, car il espérait sortir de la situation confuse et inexplicable dans laquelle il se trouvait avant sa mort. 
La couronne des croyants est une couronne de droiture, acquise par la justice du Christ. Les enfants de Dieu ne la possèdent pas dans l’immédiat, cependant, il est certain qu’elle leur est réservée dans les cieux.
Toute personne pieuse, dans la pauvreté, la douleur, la maladie, voire l’agonie, peut se réjouir.  
Le Christ accorde cette couronne de gloire à son digne fidèle serviteur Ambroise en ces termes : «Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton Seigneur… ». (Evangile. Mat. 25, 19-23)
Oui, cher confrère, tu as été serviteur bon et fidèle, en peu de choses. N’as-tu pas travaillé toute ta vie pour la cause de ton Maitre ? Tu as engendré des fils et des filles au Christ. Tu as travaillé pour la cause juste de sauver des âmes. Tu as fait que ces dernières sortent des ténèbres des péchés ou de l’ignorance à la lumière. Ton engagement dans la pastorale paroissiale et scolaire était un signe d’amour de ton Dieu et de ton prochain.
Alors, entre dans la joie de ton maitre, plus précieuse encore, est tout entière pour le cœur. Cette joie qui ne finit pas.
Le fidèle disciple du Christ est encouragé, quelles que soient les difficultés du service. Demain, il sera dans le repos et le bonheur parfait avec son Maitre, et partagera avec lui la jouissance du fruit du travail de son âme.
Chers frères et sœurs, l’être humain n’est pas fait pour la mort, mais pour la vie, et même si sa mort survient après un accident, une maladie grave, ou tout simplement en raison de l’âge, le fait qu’il passe de la vie à la mort reste un mystère auquel nous ne pouvons nous habituer.
La mort n’est pas une heureuse (ou douloureuse) prolongation de la vie terrestre, mais une totale transformation. On meurt pour la vie. On se survit pas à soi-même ! S’il y a une autre vie, elle ne peut pas venir de nous. Elle vient forcément de Dieu.
Du coup, la mort porte en elle deux visages. Celui d’une souffrance, pour nous qui restons sur la terre. Une souffrance proportionnée à au bien que cet homme , peu ordinaire et pourtant ordinaire a fait. Une souffrance proportionnée à l’amour que chacun avait pour lui. Ce visage de la mort est peiné, même s’il est admiratif et louangeur parce qu’il est une séparation : Père Ambroise est mort.
L’autre visage de la mort c’est celui du mort qui découvre cet instant « D », l’instant DIEU non comme un flop, mais comme une rencontre. La mort, c’est être libéré du temps « chronos », du temps souffrance, du temps vieillissement et entrer dans le temps « Kairos », le temps de Dieu, le temps de l’Amour, le temps de l’accomplissement de notre vie devant notre créateur et notre Sauveur.
Nous, entant que chrétiens, nous professons la résurrection, une vie après la vie terrestre. Nous affirmons que la destinée finale de l’homme, après sa vie sur cette terre, est de voir Dieu et de vivre avec Lui, dans un milieu parfait d’amour.
« Frères, aucun d’entre nous ne vit pour soi-même, et aucun ne meurt pour soi-même : si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur ; si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Dans notre vie comme dans notre mort, nous appartenons au Seigneur. Car si le Christ a connu la mort, puis la vie, c’est pour devenir le Seigneur et des morts et des vivants ».
Père Ambroise n’a pas vécu pour lui-même, il a pleinement vécu pour les autres en s’intéressant à tout ce qui pouvait concourir au bonheur des autres.
En présentant nos condoléances à la famille BATUBENGA, à toute la Congrégation des Joséphites, à Son Excellence Mgr Bruno ATEBA EDO, notre Père-évêque, à tout le clergé du diocèse de Maroua-Mokolo, à tous les consacrés, à l’Eglise peuple de Dieu qui est à Maroua-Mokolo, à la communauté paroissiale de Saint Jean-Baptiste d’Ouzal et à la population scolaire du Collège privé catholique Saint Joseph de Koza, affectés par cette séparation, bénissons le Seigneur pour Père Ambroise qu’il nous a donné malgré sa courte vie qu’il entre maintenant dans la joie de son Maitre.
Prions enfin le Seigneur pour qu’il éclaire nos cœurs et nos libertés pour que, nous aussi, nous tous qui sommes présents dans cette église co-cathédrale, nous soyons capables d’entendre les appels qui nous sont adressés par le Seigneur et d’y répondre en nous mettant au service de nos semblables dans la vérité et la paix, sans violence et sans haine.
Amen. 

 

THE HOMILY DELIVERED AT THE SUFFRAGE MASS OF FATHER AMBROISE BISELELE, cj, Mokolo, 20/01/2023

 

2 Tim. 4:7-9; Ps. 129; Mat. 25:14-30

Through the Paschal Mystery comprising the passion, death and resurrection of Christ, made manifest in the sacrament of Baptism, every believer has passed from death to life, and lives in an absolute way by the theological virtue of Hope which is emancipated with the virtues of Faith and Charity in our existence. It is this hope that authorises us, and it is also Faith, to gather in this co-cathedral church of Saint James to present our illustrious deceased, the only Mediator between God and mankind, Jesus Christ, dead and risen, to the Creator, Living and True God.
Through our baptismal yes, eternal life has already begun in a permanent service of our "self" which is gift. Our late confrere Father Ambroise BISELELE followed a path to live a deep and lasting happiness. He was a man of communicative cheerfulness, generous joy and streaming empathy. The religious priest that he was, lived in his ordinary life what he knew how to give to others: the proclamation of the good news, joy, generosity, humour, a sense of sacrifice and commitment. And we all know how he was able to infuse his characters with his sympathy, his good humour, his rigour, his cleanliness, his charm as a happy man.
There was in him a real unity of life which contributed to making him loved. He was loved by people because he loved them. A true man who knew how to tell the truth and who had no falsehood in him. A confrere who refused to belong to the pagan groupings that are sometimes created in community life. He knew how to say what he thought. A Josephite without hypocrisy. One who knew how to bring joy to the community with his high sense of humour. A man of the people, which is why he was called "Manseba". Yes, he was the uncle of everyone who came into contact with him. A generous religious who knew how to help his confreres and the needy.
Father Ambroise, like Saint Paul (1st reading), can rejoice that he fought the good fight, that he completed his course, that he kept the faith. From now on, the crown of righteousness is reserved for him; the Lord, the righteous judge, will give it to him on that day..." (2 Tim. 4:7). (2 Tim.4,7).
He has run his race to the end. In spite of all opposition and afflictions. He remained in the truth. As a Christian and servant of God he kept the gospel doctrine, but also a strong faith. By way of illustration, he died with the cross in his hands, because he hoped to get out of the confused and inexplicable situation he was in before his death. 
The crown of believers is a crown of righteousness, acquired through the righteousness of Christ. The children of God do not possess it at present, but it is certain to be reserved for them in heaven.
Every godly person, in poverty, pain, sickness, even agony, can rejoice.  
Christ grants this crown of glory to his worthy and faithful servant Ambroise in these words: "Very well, good and faithful servant, you have been faithful in a few things, I will entrust you with many; enter into the joy of your Lord...". (Gospel. Mat. 25, 19-23)
Yes, dear brother, you have been a good and faithful servant in a few things. Have you not worked all your life for the cause of your Master? You have begotten sons and daughters to Christ. You have worked for the just cause of saving souls. You have brought souls out of the darkness of sin or ignorance into the light. Your commitment to parish and school ministry was a sign of love for your God and neighbour.
So, enter into the joy of your master, which is even more precious, is all for the heart. That joy which never ends.
The faithful follower of Christ is encouraged, whatever the difficulties of service. Tomorrow he will be in perfect rest and happiness with his Master, and will share with him the enjoyment of the fruit of his soul's work.
Dear brothers and sisters, the human being is not made for death, but for life, and even if his death occurs after an accident, a serious illness, or simply because of age, the fact that he passes from life to death remains a mystery to which we cannot become accustomed.
Death is not a happy (or painful) extension of earthly life, but a total transformation. We die for life. We do not survive ourselves! If there is another life, it cannot come from us. It must come from God.
As a result, death has two faces. One of suffering, for us who remain on earth. A suffering proportionate to the good that this man, who is not ordinary and yet ordinary, has done. A suffering proportionate to the love that everyone had for him. This face of death is sorrowful, even if it is admiring and praising, because it is a separation: Father Ambroise is dead.
The other face of death is that of the dead person who discovers this "D" moment, the moment of GOD, not as a flop, but as an encounter. Death is to be freed from "chronos" time, from suffering time, from aging time, and to enter into "Kairos" time, God's time, the time of Love, the time of the fulfilment of our life before our creator and our Saviour.
We, as Christians, profess the resurrection, a life after the earthly life. We affirm that man's final destiny, after his life on this earth, is to see God and to live with Him in a perfect environment of love.
"Brethren, none of us lives for himself, and none of us dies for himself: if we live, we live for the Lord; if we die, we die for the Lord. In our life and in our death we belong to the Lord. For if Christ experienced death and then life, it was in order to become Lord of both the dead and the living.
Father Ambroise did not live for himself, he lived fully for others by taking an interest in everything that could contribute to the happiness of others.
In presenting our condolences to the BATUBENGA family, to the whole Congregation of the Josephites, to His Excellency Mgr Bruno ATEBA EDO, our Father-Bishop, to all the clergy of the Diocese of Maroua-Mokolo, to all the consecrated persons, to the Church, the people of God in Maroua-Mokolo, to the parish community of Saint Jean-Baptiste d'Ouzal and to the school population of the private Catholic College Saint Joseph of Koza, affected by this separation, let us bless the Lord for Father Ambroise that he gave us despite his short life that he now enters into the joy of his Master.
Finally, let us pray to the Lord to enlighten our hearts and freedoms so that we too, all of us who are present in this co-cathedral church, may be able to hear the calls addressed to us by the Lord and to respond to them by placing ourselves at the service of our fellow human beings in truth and peace, without violence and without hatred.
Amen. 

CONGREGATION DES JOSEPHITES, PROVINCE D’AFRIQUE, MAISON DU CAMEROUN

ORAISON FUNEBRE ET MOT DE REMERCIEMENT

 

Leurs Excellences Messeigneurs Bruno ATEBA EDO, évêque du diocèse de Maroua-Mokolo, et Barthélémy Daouda, évêque du diocèse de Yagoua, Révérends Pères, Révérendes Sœurs Supérieurs majeurs, Mgr le Vicaire général, Messeigneurs les Vicaires épiscopaux, Mesdames et Messieurs les autorités politico-administratives, religieuses et coutumières, Chers confrères dans le sacerdoce ministériel, Révérendes Sœurs, Révérends frères et chers Séminaristes,

Mes frères et sœurs dans le Christ Jésus, 
L’honneur est pour moi de prendre la parole à la fin de cette célébration eucharistique circonstancielle pour rendre d’abord hommage à l’illustre défunt qui nous rassemble en cet édifice sacré, ensuite, reconnaitre le mérite de certains d’entre nous qui ont concouru pour la réussite de cette circonstance malheureuse.  

Cher Père Ambroise,
Tu es arrivé dans ce monde un beau jour en 1975. C’était le 09 mai, à Kabuluanda. Originaire de la Province du Kasaï Central, Territoire de Demba, Secteur de Lusonge, Groupement de Tshitakanyoka, en RDC. Fils de BATUBENGA KABALU Justin et de TSHIBOLA LUKANU Thérèse. Les deux parents sont encore en vie. Le papa aujourd’hui retraité fut directeur d’une école primaire catholique.  Tu étais le cinquième fils de cette grande famille qui comptait deux sœurs et huit frères. Tu fus baptisé, le 21 juillet 1976, et confirmé, le 26 février 1992.
A 11 ans (1986), tu eus la chance d’obtenir ton certificat d’école primaire, et à 17 ans (1992), un diplôme d’Etat en Pédagogie générale. De 1995 à 1998, tu fis les études Supérieures dans ton village natal où tu décrochas une licence en Français et Langues africaines à l’Institut Supérieur Pédagogique de la même localité. 
Tu commenças ta vie active dans ta localité natale en tant que Professeur de Français, à l’Institut de Kabuluanda.
Le 03 octobre 2001, tu professas tes premiers vœux de religion à Ilebo (dans l’actuelle Province du Kasaï) en tant que membre de la Congrégation des Joséphites. 
J’ai eu la chance de faire ta connaissance après tes premiers vœux à Kinshasa comme camarade de promotion en L2 (2ème graduat) Philosophie, à l’actuelle Université Saint Augustin de Kinshasa. Depuis ces temps, nous deux formions une équipe des inséparables. Nous restions côte à côte dans un même auditoire, en d’autres termes, tu étais mon voisin de table banc non seulement en L2, mais aussi en L3. 
Les moments passés avec toi, à te regarder entrainer notre équipe de football sans que tu sois un bon footballeur, à te suivre dans tes différentes activités, font partie de mes meilleurs souvenirs de Scolastique. Ce que j’adorais le plus, c’est lorsque tu mettais ta culotte, on s’asseyais sur la pelouse de notre terrain de foot et tu t’arrogeais le luxe de taquiner les gens par tes innombrables humours. J’aimais écouter ta voix, te voir en train de travailler dans ta chambre, à l’Université ou à la bibliothèque. 
Tes conseils, ta forte personnalité, ton sens d’humour et ta franchise m’ont beaucoup aidé à être celui que je suis aujourd’hui. Tu étais un confrère sans parti pris du fait que tu avais refusé d’appartenir dans des groupuscules qui se créent parfois dans nos communautés. Tu savais dire ce que tu pensais. Dire la vérité à quelqu’un quelque soit sa réaction était un des traits de ton caractère. Tu n’avais peur de rien. 
Tu étais le grand potier. Non pas celui qui façonne l’argile, cette matière rocheuse naturelle en poterie (les objets en céramique), mais un potier éducateur qui savait façonner l’argile humaine que sont tes élèves en véritables poteries scientifiques, capables de vous défendre non pas seulement à l’école, mais partout.    
Le 28 décembre dernier, j’ai appris que tu t’étais éteint pendant que tu travaillais et que tu te préparais à rejoindre tes collègues chefs d’établissements à Maroua pour la réunion d’évaluation du premier semestre. Tu as simplement arrêté de respirer. A ce moment précis, ce n’est pas le lien fort qui nous unit qui s’est coupé, c’est mon temps pour te dire à quel point je t’aime qui s’est écoulé.
Tu n’aurais pas voulu nous voir tristes. Je sais que tu n’es pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
Je te trouverai dans l’étoile brillante qui continuera à me guider et pas loin des jonquilles jaunes éclatantes, en train de veiller sur tes œuvres…je ne t’oublie pas, tu resteras à jamais dans mon cœur. Je ne te dis pas adieu, mais je te dis simplement au revoir, car nous nous rêverons un jour dans la maison du Père.   
Mon frère, vas en paix et que la terre de nos ancêtres te soit douce et légère. Que les Saints Anges du ciel t’accueillent dans la demeure éternelle.
Que ma langue colle à mon palais si j’oublie de reconnaitre le mérite de certains d’entre nous qui ont concouru à la réussite de cette circonstance.
De prime à bord, notre reconnaissance va à l’endroit de S.E. Mgr Bruno ATEBA EDO, notre Père-évêque qui n’a ménagé aucun effort pour offrir à son digne fils, Père Ambroise des obsèques dignes de son rang,
A S.E. Mgr Barthélémy Yaouda Hougo, évêque Yagoua, nous disons grandement merci pour son sens élevé de paternité qui, en dépit de ses multiples occupations, a parcouru une longue distance pour venir nous témoigner de son affection paternelle,
Notre reconnaissance va surtout à l’endroit de Monseigneur le Vicaire épiscopal de la Zone Mokolo et curé de cette paroisse co-cathédrale Saint Jacques et ses vicaires qui nous ont offert ce cadre qui nous a permis de rendre le dernier hommage à notre confrère,
A l’ensemble de l’équipe apostolique du diocèse de Maroua-Mokolo et d’ailleurs, nous disons merci pour leur sens élevé de fraternité,
A vous tous membres du Secrétariat à l’éducation du diocèse de Maroua-Mokolo, aux membres de la délégation départementale de l’enseignement secondaire de Tsanaga-Sud, à la population scolaire du Collège Saint Joseph de Koza, aux fidèles de la Paroisse Saint Jean-Baptiste d’Ouzal et ceux de la Zone Koza, nous vous remercions pour votre engagement et générosité,
A la colonie congolaise venue de partout, merci pour votre sens élevé de famille,
A vous tous qui avaient contribué d’une ou d’une autre manière à la réussite de cet événement malheureux, nous disons merci  

Fait à Mokolo, le 21 Janvier 2023
Père Modeste MASHIMBA NGOIE, cj

 

CONGREGATION OF JOSEPHITES, PROVINCE OF AFRICA, HOUSE OF CAMEROON

FUNERAL ORATION AND WORD OF THANKS

 

Their Excellencies Bruno ATEBA EDO, Bishop of the Diocese of Maroua-Mokolo, and Barthélémy Daouda, Bishop of the Diocese of Yagoua, Reverend Fathers, Reverend Sisters, Major Superiors, Mgr the Vicar General, My Lords the Episcopal Vicars, Ladies and Gentlemen the political-administrative, religious and customary authorities, Dear confreres in the ministerial priesthood, Reverend Sisters, Reverend Brothers and dear seminarians,

My brothers and sisters in Christ Jesus, 
It is an honour for me to speak at the end of this circumstantial Eucharistic celebration, firstly to pay homage to the illustrious deceased who has brought us together in this sacred building, and secondly, to recognise the merit of some of us who have contributed to the success of this unfortunate event.  

Dear Father Ambroise,
You arrived in this world one fine day in 1975. It was on 9 May, in Kabuluanda. Originally from the Province of Central Kasai, Territory of Demba, Sector of Lusonge, Grouping of Tshitakanyoka, in the DRC. Son of BATUBENGA KABALU Justin and TSHIBOLA LUKANU Thérèse. Both parents are still alive. The father, now retired, was the director of a Catholic primary school.  You were the fifth son of this large family which included two sisters and eight brothers. You were baptised on 21 July 1976 and confirmed on 26 February 1992.
At the age of 11 (1986), you had the chance to obtain your primary school certificate, and at the age of 17 (1992), a state diploma in general pedagogy. From 1995 to 1998, you studied in your native village where you obtained a degree in French and African languages at the Institut Supérieur Pédagogique of the same town. 
You started your active life in your home town as a French teacher at the Kabuluanda Institute.
On 3 October 2001, you professed your first religious vows in Ilebo (in the present Kasai Province) as a member of the Josephite Congregation. 
I had the chance to meet you after your first vows in Kinshasa as a fellow student in L2 (2nd degree) Philosophy, at the present University of Saint Augustine in Kinshasa. Since then, the two of us have formed an inseparable team. We stayed side by side in the same auditorium, in other words, you were my seatmate not only in L2, but also in L3. 
The moments spent with you, watching you coach our football team without you being a good footballer, following you in your different activities, are some of my best memories of Scholastic. What I loved most was when you would put on your shorts, we would sit on the grass of our football field and you would have the luxury of teasing people with your countless humours. I loved to listen to your voice, to see you working in your room, at the University or in the library. 
Your advice, your strong personality, your sense of humour and your frankness helped me a lot to become the person I am today. You were an unbiased colleague because you refused to belong to the groupuscules that are sometimes created in our communities. You knew how to say what you thought. Telling the truth to someone, no matter how they reacted, was one of your character traits. You were not afraid of anything. 
You were the great potter. Not the one who shapes clay, that natural rocky material into pottery (ceramic objects), but an educational potter who knew how to shape the human clay that is your students into real scientific pottery, capable of defending you not only at school, but everywhere.    
On 28 December last year, I learnt that you had passed away while you were working and preparing to join your fellow head teachers in Maroua for the first semester evaluation meeting. You just stopped breathing. At that very moment, it was not the strong bond between us that broke, it was my time to tell you how much I love you that ran out.
You wouldn't have wanted to see us sad. I know you're not far away, just across the way.
I will find you in the bright star that will continue to guide me and not far from the bright yellow daffodils, watching over your works...I don't forget you, you will always be in my heart. I do not say farewell to you, but I simply say goodbye, for one day we will dream of each other in the Father's house.   
My brother, go in peace and may the land of our ancestors be sweet and light to you. May the holy angels of heaven welcome you to the eternal home.
May my tongue stick to my palate if I forget to acknowledge the merit of some of us who have contributed to the success of this occasion.
First of all, our gratitude goes to His Excellency Bishop Bruno ATEBA EDO, our Father-Bishop who spared no effort to offer his worthy son, Father Ambroise a funeral worthy of his rank,
To Bishop Barthélémy Yaouda Hougo, Bishop of Yagoua, we say thank you very much for his high sense of fatherhood who, in spite of his multiple occupations, travelled a long distance to come and show us his fatherly affection,
Our gratitude goes especially to the Episcopal Vicar of the Mokolo Zone and parish priest of this co-cathedral parish of Saint Jacques and his vicars who offered us this framework that allowed us to pay the last homage to our confrere,
To the whole apostolic team of the diocese of Maroua-Mokolo and elsewhere, we say thank you for their high sense of brotherhood,
To all you members of the Secretariat for Education of the Diocese of Maroua-Mokolo, to the members of the Departmental Delegation of Secondary Education of Tsanaga-Sud, to the school population of Saint Joseph's College of Koza, to the faithful of the Parish of Saint John the Baptist of Ouzal and those of the Koza Zone, we thank you for your commitment and generosity,
To the Congolese colony that came from everywhere, thank you for your high sense of family,
To all of you who contributed in one way or another to the success of this unfortunate event, we say thank you  

Done at Mokolo, 21 January 2023
Father Modeste MASHIMBA NGOIE cj

PERE AMBROISE BISELELE R.I.P.

 

Les Joséphites sont désolés par le décès imprévu, le 28 décembre 2022 à Ouzal (Cameroun) de notre cher Père Ambroise Biselele, Directeur du Collège de Koza.  

Des élèves du Collège de Koza disent "au revoir" à leur Directeur.  

LA JOURNEE DU FONDATEUR 2022

 

Les confrères de l’Angleterre se sont réunis pour une Messe suivie d’un repas convivial pour célébrer la journée du Fondateur, le 1 décembre 2022.

A notre Collège à Weybridge (UK) on a célébré une Messe pour tous les élèves.

VISITATION EN AFRIQUE

 

Récemment le Supérieur Général a fait une visitation pastorale à nos confrères au Cameroun et au Gabon (avec le Vicaire General). Voici quelques images.

ORDINATIONS A KIMWENZA


Le 27 novembre, à Kimwenza, a eu lieu l’ordination sacerdotale du Père Simon cj, et diaconale des Pères Sylvain cj et Boniface cj.
Les évêques sont Msgr Jean-Crispin Kimbeni (Kisantu - en mitre mauve) et Msgr Vincent Tshomba (Tshumbe).
Ad multos annos !

SOIREE DES JOSEPHITES ANGLAIS

Récemment les Joséphites anglais ont tenu leur réunion régulière. Une enseignante au Collège, Mme Turner, a été invitée pour nous adresser sur le sujet de « Membre de l’Armée de Salut comme enseignante à un Collège catholique ». On a partagé un repas fraternel après.

DISTRIBUTION DES PRIX A L’ITC DOMIONGO 

PROFESSION A KIMWENZA

 

Ce jour, le 18 septembre 2022, deux novices ont émis leurs premiers vœux à Kimwenza (DRCongo).

Félicitations et « ad multos annos » aux Frères Marcel Kalombo Mpingayabu et Albert Lomango Wadikuta.

CHAPITRE GENERAL 2022

 

Au mois de juillet 2022 le Chapitre General des Joséphites s’est tenu à La Berlière, (Ath, Belgique).
Au cours du Chapitre les suivants ont été élus:
Supérieur General: RP Jacob Beya Kadumbu CJ (réélection)
Vicaire Général: RP Aidan Peter Rossiter CJ (réélection)
Conseillers :
RF Michael Powell CJ (réélection) (et Secrétaire General).
RP Joseph Bampembe Mpoto CJ
RP Paul Janssens CJ (réélection)

 

Les membres du Chapitre

Le nouveau Conseil General. De gauche à droite: RP Paul Janssens (conseiller), RF Michael Powell (conseiller et secrétaire general), RP Jacob Beya Kadumbu (supérieur general), RP Aidan Peter Rossiter CJ (vicaire general), RP Joseph Bampembe Mpoto (conseiller).

DECES DU PERE JUDE McHUGO

 

Ce Vendredi Saint les Joséphites en Angleterre annoncent la triste nouvelle du décès pendant la nuit du Père Jude McHugo à l’âge de 89 ans. Dans la vie le Père a servi comme maître de novices, supérieur, conseiller général, aumônier et curé.

Le P. Jude comme scolastique à Melle avec les PP. Campion, Illtyd et Mark.

VISITE DU SUPERIEUR GENERAL AU RD CONGO

 

Aux mois de février/mars 2022 le P. Jacob, Supérieur Général, a visité les communautés et les écoles du RDC. Voici quelques images de sa visite.

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